En partage - à ceux qui souhaitent

La précarité créée file sa traîne tous les jours...

Elle s'infiltre par toutes les nervures de la terre. 
Chacun peut tomber dans ses ruisseaux pour presque rien, même ici, pluie de boue, vie mise à nuau cours du temps foutu dégringolé... Jusqu'à l'égout dégoût.


J'imagine, je rêve... Nous rejoindrions la mer houleuse en foule
en flots de paroles déchaînées
avec toutes nos galère mutines
nos temps passés à ramer.
Taire ferme, nous entendant bien
revenant des instants, intense sur le cours des choses, des élémentsqui nous échappent, à tenter d'arrêter la course à temps.Cette fuite en avant vers sans issue.


(J'imagine, je rêve... Renverser, offrir, rouvrir, découvrir la face cachée du monde enseveli et meurtri
sous la lune, le soleil, les planètes et les étoiles, à la lumière de nuit au jour, à la nature
recueillir nos visages un moment comme dans un long baiser à l'abandon
doux en entier donné sans réserve en penséeà la solitudes de nos êtres de doute
oublier tous les affres infligés, par le souffle ravivant les espoirs volés.

A recevoir paroles de courage et gestes de solidarité : plein coeur.)


Songer à se retrouverun jour sans déserteur après le désêtre diviseur.

Précarité créée pas à vendre, à abolir par don de solidarité.
Il y a urgence à partagerpour de vrai pour de bon.


"On ne peut accueillir toute la misère du monde", répète en boucle Dupontd Lapalisse :
alors il faut déjà cesser de la créer partout au Sud depuis l'Empire empirant et pillant, organisant les découpes de parts en parts.